« Tout tourne autour de l’argent dans ce dossier », relève Agnès Cordier, avocate générale, au soutien de l’accusation dans le procès de Meriem Bouasla et Abderrahim Gheloucijugés depuis mardi 5 septembre pour l’assassinat de Michel Voltz, devant la cour d’assises de la Moselle. Les 50 000 euros d’impayés liés à l’appartement de ce couple, qui vit d’aides et d’allocations-chômage, mais prend quand même un crédit pour s’offrir une Audi Q5 ou des liposuccions en Turquie, car Abderrahim Ghelouci a promis à sa « Omri » qu’elle aurait « une vie de luxe », c’est elle qui l’a dit.
Procès du viager mortel de Lorraine : 30 ans de prison pour le principal accusé
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