Sur l’écouvillon n°5, une trace ADN inconnue dite « M2 ». Prélevé sur le repose-poignet droit de l’ordinateur portable des deux policiers assassinés par Larossi Abballa le 13 juin 2016 à Magnanville (Yvelines), ce profil n’avait « matché » dans le fichier national des empreintes génétiques (FNAEG) qu’un an après l’attentat comme étant celle de Mohamed Lamine Aberouzentre-temps mis en cause dans un autre dossier. « Pour nous, service enquêteur, un véritable choc », a confié un policier de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) mardi devant la Cour d’assises spéciale de Paris.
Procès de l’attentat de Magnanville : la trace ADN de l’accusé en débat
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