« Un couteau qu’on retourne dans la plaie. » C’est ainsi qu’Adrienne reçoit la décision, début mars, de la chambre de l’instruction de Nancy remettant en liberté, six mois après leur condamnation, les meurtriers de son fils qui ont décidé de faire appel. « Sans mauvais jeux de mots », a ajouté celle qui a tenu dans ses bras jusqu’à l’arrivée des secours, son enfant agonisant : le 27 septembre 2018, dans le quartier de Vallières, à Metz (Moselle), Alexandre Bour, âgé de 20 ans, était tué de sept coups de couteau par des garçons du même âge que lui.
Meurtre d’Alexandre Bour : la détresse des parents après la remise en liberté de six accusés
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