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Le ministre de la Défense du Burkina Faso a dénoncé ce qu’il a qualifié de “coalition internationale” alignée contre son pays et allégué qu’il y avait eu des violations de l’espace aérien du pays. Et l’agence de renseignement du pays a déclaré qu’un massacre de civils en avril – que certains groupes de défense des droits ont imputé à l’armée – a été perpétré par des combattants djihadistes habillés en soldats. Le colonel Kassoum Coulibaly, nommé par la junte militaire à la tête du pays, a également fait écho aux démentis du chef du nouveau régime, le capitaine Ibrahim Traoré, selon lesquels la force mercenaire russe Wagner y opérait. Pour en savoir plus, FRANCE 24 est rejoint par Ilaria Allegrozzi, chercheuse senior sur l’Afrique centrale à la division Afrique de Human Rights Watch.
