Ces derniers, évidemment, aimeraient bien que le mouvement aille plus loin et surtout plus vite, pour emprunter encore moins cher. Pas certain, pourtant, qu’une dégringolade leur serait bénéfique. Ce serait oublier un peu vite que la possibilité de s’endetter sans payer d’intérêts (ou presque) avait poussé les prix des biens à des sommetspar endroits déraisonnables. La flambée des taux, passés d’à peine 1 % à environ 4,5 % en moins de deux ans, avait déstabilisé le marché, mais celui-ci ne supporterait peut-être pas mieux un choc contraire.
Marché immobilier : prendre son mal en patience
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