Légèrement plus chères que les clémentines corses « communes », les Caffin sont les premières à arriver dans les étals des magasins avec leurs feuilles toutes fraîches. Mais, selon Marie-Laure, le prix n’est pas un frein. « Les consommateurs reconnaissent la qualité gustative de nos produits, mais aussi la transparence dont font preuve les producteurs », souligne la jeune exploitante. C’est ce que garantit l’IGP (indication géographique protégée), qui oblige les 175 producteurs de clémentines insulaires à se plier à un cahier des charges à 70 entrées.
La récolte des clémentines corses, chères mais populaires, a commencé sous de bons auspices
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