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« C’est une horreur, c’est abject… Je n’ai pas les mots pour décrire ce que j’ai vu », confie, bouleversé, Pierre Amat le maire de Tugéras-Saint-Maurice en Charente-Maritime, un village proche de Jonzac. Ici, vendredi matin, les habitants se sont réveillés au milieu d’un véritable cauchemar. Quatorze cercueils enterrés dans sept caveaux familiaux y ont été profanés avec une indignité inouïe pour les défunts qui y reposaient. La même nuit de jeudi ou vendredi, dans le bourg de Chartuzac, une commune distante de quelques kilomètres à peine, la même scène d’horreur a eu lieu, avec neuf caveaux ouverts cette fois.
