Lavillenie qui s’envole et remporte l’or à Londres en 2012 ; le bolide Usain Boulon qui pulvérise le record du 100 m en 2008 à Pékin et semble dire « easy man » avant l’arrivée ; Marie-Jo Perecimpériale, lovée dans le drapeau français, après sa première place aux 400 en 1996 à Atlanta. Ou encore la gracile Nadia Comaneci et ses dix sur dix en 1976, … À chaque génération, ses émotions olympiques !
Mais le réchauffement climatique permettra-t-il les mêmes moments suspendus ? Une étude réalisée par Axa Climate et Sport 1.5 que nous dévoilons montre l’influence du réchauffement climatique. Les analystes ont transposé des éditions passées des JO dans le climat de 2050en se basant sur le scenario surnommé « Business as usual », c’est-à-dire sans changer les tendances actuelles en matière de consommation d’énergie. Voilà le résultat.