Une séance de vote à la Chambre des représentants.
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Kiosque360. La cour constitutionnelle du Royaume a rejeté les demandes d’invalidation des élections législatives partielles organisées le 21 juillet 2022 à Al Hoceima. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
Après l’annulation des résultats des élections parlementaires de la circonscription législative d’Al Hoceima au terme du scrutin du 8 septembre 2021, la cour constitutionnelle du Royaume vient de rejeter les demandes d’invalidation relatives aux élections partielles organisées le 21 juillet.
Ainsi, le verdict de la cour constitutionnelle confirme l’élection des députés Abdelhak Amghar de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), Noureddine Mediane du parti de l’Istiqlal (PI), Boutahar El Boutahri du Rassemblement national des indépendants (RNI) et Mohamed Hammouti du Parti authenticité et modernité (PAM), rapporte le quotidien Al-Akhbar dans son édition du week-end des 14 et 15 janvier.
Les demandes d’invalidation déposées auprès de la cour constitutionnelle du Royaume ont porté sur «l’organisation de meetings électoraux en violation des lois régissant l’état d’urgence sanitaire par certains candidats, la distribution par d’autres de tracts et d’affiches électoraux parcellaires ne comportant pas les photos et données de la liste électorale dans la province, l’utilisation par certains des affiches électorales à connotation ethnique et tribale et comportant de fausses données relatives à certains candidats». Ces demandes d’invalidation ont été déposées par les candidats recalés, Aissam Khamlichi, Mohamed Laâraj et Nabil El Andaloussi, indiquent les sources du quotidien.
Après l’examen de ces recours dans les délais, font savoir les sources du quotidien, la cour constitutionnelle a jugé que les demandes d’invalidation n’étaient pas suffisamment appuyées par des arguments et des preuves tangibles. Et du coup, ces demandes ont été rejetées.