Des millions d’euros qui disparaissent depuis le Centre international de commerce de gros France-Asie (Cifa), à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), et des plates-formes de blanchiment tenues par des organisations criminelles chinoises. Pour mieux comprendre le rôle d’une partie de cette communauté, une note du ministère de l’Intérieur, rédigée à Nanterre (Hauts-de-Seine) en juillet de l’année dernière, précise que « ces groupes tirent leur force de l’implantation mondiale de leur diaspora ».
Affaire des plates-formes chinoises d’Aubervilliers : ces criminels franciliens champions du monde de blanchiment
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