À Sérifontaine, Priyatharshan K. est parti comme il est arrivé : sans faire grand bruit. Dans cette bourgade de quelque 2800 âmes, peu se souviennent de son passage à la tête de la petite épicerie du centre-ville. « J’y allais seulement de temps en temps, en dépannage », glisse une habitante. Ici, on préfère le supermarché du coin. Tout juste se rappelle-t-on avoir vu l’établissement fermer du jour au lendemain, en juin 2021.
Oise : le «discret» épicier de campagne était à la tête d’un réseau international d’immigration clandestine
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