« C’est nettement plus agréable de traverser à pied. Je le fais désormais matin et soir alors qu’avant je prenais souvent le bus pour seulement deux stations », explique Fanny, 49 ans, qui descend du métro Porte-de-Clichy pour aller travailler boulevard Victor-Hugo, à Clichy. « Je détestais passer sous le périph. C’était sombre, totalement embouteillé et le cheminement piéton était loin d’être rassurant », poursuit cette Parisienne, soulignant que l’arrivée de nouvelles enseignes de restauration sur son trajet a largement contribué à améliorer l’ambiance générale du quartier. Tout comme les œuvres de graffeurs internationaux réalisées dans le cadre du festival Caps.
À la porte de Clichy, la frontière entre Paris et les Hauts-de-Seine s’estompe à l’heure du déjeuner
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