Sous la coupe directe de l’association diocésaine ou des (très) nombreuses congrégations présentes à Paris, ces bâtiments – écoles privées, presbytère, Ehpad gérés par des sœurs – sont visés par un « pastillage » – l’équivalent d’un classement. Ils sont susceptibles, en somme, d’être rachetés par la Ville en cas de vente, qui aurait alors le loisir de les transformer en logements sociaux. À eux seuls, les pastillages de six établissements scolaires de l’enseignement privé catholique ont entraîné 78 % de la participation à l’enquête publique. Un vrai tollé.
Paris repense son avenir : jardins, presbytère, écoles privées… Quand la Ville lorgne les biens religieux
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