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Malgré des progrès indéniables vers l’élimination des mutilations génitales féminines, elles existent toujours sur six continents, principalement au Moyen-Orient et en Afrique. Les Nations Unies se sont fixé l'objectif ambitieux d'éradiquer toutes les formes de cette pratique d'ici 2030, mais cela nécessitera des changements dans les méthodes existantes pour y faire face. Parmi eux : fournir davantage de financement aux activistes locaux et inclure des critiques postcoloniales et un meilleur cadre des droits humains dans les lois anti-MGF. Erin Ogunkeye s'est entretenue avec le Dr Wisal Ahmed de l'UNFPA et la militante kenyane anti-MGF Sadia Hussein pour en savoir plus. Nous nous penchons également sur la prolifération des « MGF médicales » au Kenya malgré la criminalisation de la procédure depuis 2011.