L’univers des « influenceurs » est décidément très varié. Fin septembre, la Direction nationale du Renseignement territorial (DNRT) a rédigé une note d’étude sur ces « influenceurs séparatistes islamistes » qui utilisent les réseaux sociaux à la fois à des fins de prosélytisme religieux mais aussi pour des motifs plus bassement financiers. Ce qui fait conclure aux policiers dans ce document, que Le Parisien a pu consulter, que ce « mode opératoire n’est pas sans rappeler celui des télévangélistes d’Outre-Atlantique ».
Cagnottes, cours en ligne… Les « influenceurs séparatistes islamistes » dans la mire des Renseignements
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