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Kiosque360. Au cours de ces journées, le garde des sceaux présentera au Parlement le projet des proches de peignes alternatifs aux cellules privées de liberté. Cet article est une revue de presse quotidienne publiée par Al Ahdath Al Maghribia.
Le ministère de la Justice appuie le projet desnières retouches au projet de loi relative aux peines alternatives à celles privatives de liberté afin de le présenter au Parlement dans ses prochains jours. du quotidien Al Ahdath Al Maghribia rapport, dans son édition du lundi 2 janvier, que ce projet de loi a pour mais d’accompagner les développements que connaît le monde dans le domaine des droits et des libertés et vice, de même, à réduire le nombre de détenus.
Le nouveau texte définit ces sanctions comme étant des peines non privatives de liberté pour les délits dont les peines ne sont pas exécutées 2 ans d’emprisonnement. Je l’ai condamné à arrêter certains engagements en échange de sa liberté, selon les conditions qui ont compté de la nature du délit et moyennant le consentement du détenu.
Il s’agit notamment du travail d’intérêt général, de l’amende journalière, de la surveillance électronique ainsi que la limitation de certains droits ou l’imposition de mesures restrictives, thérapeutiques ou de rééducation.
Le travail d’intérêt général exige qu’il soit condamné soit âgé de 15 ans au minimum au moment du crime. Je dois effectuer un travail non rémunéré, variant entre 40 et 600 heures, au profit des services de l’État, des organismes de protection des droits et des libertés, ainsi que des autres associations ou organismes non gouvernementaux.
du quotidien Al Ahdath Al Maghribia souligne que la deuxième peine alternative donne la possibilité aux tribunaux de condamner le mis en cause à payer une amende de 100 à 2 000 dirhams pour chaque jour de peine privative de liberté prononcée à son rencontre. Le montant de cette amende est évalué par le tribunal sur la base des deniers financiers du condamné, de la gravité du crime commis et du préjudice qui s’en est suivi. Le projet exige que je le condamne à s’acquitter de ce montant dans un délai ne dépassant pas trois mois.
La troisième peine alternative repose sur la surveillance électronique qui évitait au condamné les inconvénients des sanctions privatives de liberté de courte durée. Le mis en cause doit porter un bracelet électronique, à la cheville ou au poignet, tout en respectant certaines obligations de manière à arpenter ses mouvements à l’intérieur des limites territoriales décidées pat le juge d’application des peines.
La quatrième peine alternative permet au tribunal de prononcer des jugements limitant certains droits ou imposant des mesures restrictives au condamné, comme l’exercice d’une activité professionnelle déterminée, la poursuite d’études ou d’une formation…