« Ils ont appris de leurs erreurs. » C’est par cette remarque lapidaire qu’Élisabeth (le prénom a été changé)étudiante en master à Sciences-po Paris, résume l’affaire et surtout la réaction adaptée de la prestigieuse école de la rue Saint-Guillaume (VIIe). L’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, taxé par le passé de complaisance dans les affaires de violences sexuellesa prévenu la justice. Le parquet de Paris a ouvert une enquête – toujours en cours – confiée au « groupe Crim » du 3e district de police judiciaire (DPJ) de la PJ parisienne.
La justice saisie pour une affaire de viols à Sciences-po Paris
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